mercredi 17 décembre 2008

Averroes : "la diversité c'est aussi les blancs"...

Averroes : "la diversité c'est aussi les blancs"...
Vidéo envoyée par noop

La discrimination positive pour mes petits enfants, je n’y avais pas pensé.

Amirouche Laïdi, président du club Averroes, lors d'un débat au club de J-F Copé "Génération France" nous informe que "la diversité c'est aussi les blancs"... oui c'est cela, merci, me voilà rassuré. Je commençais à me poser la question. Pourquoi le blanc ne serait pas divers lui aussi ?

Mais ça veut dire quoi "la diversité c'est aussi les blancs" ? Ce n’est pas de la « novlangue », c’est de la prospective.

Et bien ce qu’il faut comprendre, c’est qu’effectivement dans 50 ans les blancs seront devenus minoritaires, sans doute. Aux USA, qui bénéficient d’une bonne information, c’est acquis. Le wasp est sur le déclin. Chez nous en France, où le non-dit est la règle, où les races n’existent pas, on peut penser que le « gaulois » cèdera également sa place. Soit. Mais Amirouche Laïdi ne s’arrête pas là. Il nous dit que nous, les blancs, nous serons "bien contents d’avoir des lois qui protègent" (les minorités)... Les lois de la discrimination « positive » c’est nous qui en profiterons demain, "c'est (notre) intérêt" … Moyennant impôt ? Je plaisante.

Et badaboum. Le bel emballage est abîmé. Prétendument sociale et géographique, cette discrimination est bien raciale ou ethnique. Car si nous devenons minoritaires, nous pouvons quand même espérer encore maîtriser suffisament les codes socio-culturels de notre pays d’origine pour être efficaces, performants et pertinents dans la société et dans le travail. Nous ne devrions donc pas avoir à recourir à ce procédé, nous ne devrions pas avoir à être protégés... D’autant que la nouvelle majorité, nous sera reconnaissante de lui avoir fait la courte échelle, et n’hésitera pas un seul instant à nous renvoyer l’ascenseur républicain de la… Fraternité.

Dites moi qu’il n’y a pas qu’en France que le débat puisse tomber dans une telle hypocrisie, à force de non-dits, de politiquement correct et d’angélisme.

A force de refuser, les aspects ethniques, culturels et religieux de l’immigration, à force de parler des quartiers populaires pour désigner les quartiers à population d’immigrés ou d’origine immigrée (le « peuple » n’est-il constitué que d’immigrés en France ?), à force de dire « d’origine » et d’escamoter le « immigrée », à force de dire issue de la « diversité » pour ne pas dire … etc. etc. A force de vouloir décrire la réalité telle que l’on voudrait qu’elle soit et non telle qu’elle est, à force de la nier, on finit par se prendre les pieds dans le tapis comme M. Laïdi.

Première constatation, lorsque M. Le Pen (que j’abhorre je précise, c’est le début d’un brevet de bien pensance, je vais en avoir besoin…) lorsque M. Le Pen décrivait la France envahie par des immigrés qui allaient nous submerger, dans les années 80, il fantasmait… il excitait les peurs, il était populiste. En fait il nous prédisait ce que M. Amirouche Laïdi nous dit être presque certain même pas 30 ans plus tard. Ah lui ne peut être taxé de populisme en s’adressant ainsi à une assemblée de notables. En France il faut s’adresser au peuple pour faire du populisme. Mais M. Laïdi délire-t-il en si bonne compagnie, devant une assemblée acquise aux causes et aux effets ? Est-il bien le président d’une association bien vue, bien en vue et influente dans les médias ?

Donc même si cela provoque rancunes, frustrations et inquiétudes chez les blancs des classes populaires et moyennes (il y en a), pas d’hésitation il faut y aller. On s’apprête à discriminer « au pif ». Et discriminer positivement certains comme ci, en oubliant certains comme ça, et au détriment d’autres comme ça, mais bien sur dans l’intérêt de l’ensemble… et de la majorité actuelle qui deviendra la minorité de demain. Joli coup ma foi.

Et le vrai fond du « débat », dont émergent les mots « métissage » « diversité » et « discrimination positive », c’est bien notre avenir démographique en tant que peuple.
Nos « zélites » s’émeuvent de la colonisation et de l’étouffement du peuple tibétain sous un flot de Chinois façon jeu de Go. Mais pour le leur de peuple ?
Mais y a-t-il encore des peuples ? Et ces peuples ont-ils encore un destin ? Certains le pensent, ailleurs. Ici beaucoup en doutent, d’autres le nient.

Après que les fées du capitalisme aient fait des « farces » à l’occident, maintenant qu’elles s’apprêtent à lui être infidèles, cette population va découvrir le « pot aux cactus» de sa santé démographique catastrophique et ses conséquences.
D’ailleurs il y a fort à parier que ce déclin démographique soit une des origines des misères financières et économiques qui s’annoncent. Le marché n’aime pas la décroissance des consommateurs et de la consommation. Le marché a toujours raison, le marché nous emm…il ira donc voir ailleurs, là où l’homo consumériste croît et croit encore et fait toujours preuve de l’élan vital indispensable à sa survie.

Mais revenons à nos discriminés d’aujourd’hui, discriminants potentiels de demain à en croire M. Laïdi. Dans un sous-entendu ce dernier dit encore :
«Vous ne savez pas…l’histoire s’accélère et ce qui est encore impossible aujourd’hui est probable demain »… C’est vrai que ça va vite. C’est dingue.
Alors le discours sur la diversité, sur le métissage, ne devient rien d’autre qu’un accompagnement, un soin palliatif, là où l’extrême-droite propose un acharnement thérapeutique aussi dangereux qu’inutile.
C’est vrai que le débat a été pollué par le leader du Front-National.
Mais de grâce messieurs les commentateurs « autorisés » façon M. Reynié, politologue de son état, professeur à Sciences-Po, ne dites pas que nous n’avons pas été préparés à ce qui va arriver (1), ne nous dites plus que l’on a pas pu parler de tout cela pendant 30 ans … On a pas pu ?… Vous n’avez pas voulu. Vous, le système politico-médiatique bien-pensant. Mince je suis démasqué.
Gauche et droite se sont moins opposées au FN, qu’entre elles, sans même vouloir débattre, s’interdisant d’avancer leurs analyses et leurs solutions, et en niant la réalité, dans une politique du fait accompli et du non-dit, et pour cela ils ont rendu le débat, sur le sujet lui-même, tabou. Maintenant il ne leurs reste que cette citation de Jean Cocteau « "Puisque ces mystères nous dépassent, feignons d’en être les organisateurs ».

Il faut une Mme van der Leyen, députée CDU allemande, pour défendre un jour lors d’une émission sur Arte (ça m’avait alors marqué, comme toutes les secondes de liberté volées au politiquement correct) que si l’on avait consenti, pour une politique nataliste, un effort financier équivalent à celui engagé pour intégrer l’immigration extra européenne dans nos pays, on aurait obtenu des résultats… Peut-être. Encore aurait-il fallu que la famille ne soit pas un sujet « tabou » à gauche comme le déclara maladroitement Ségolène Royal lors d’une interview sur France Inter en 2007. Et un tabou à gauche équivaut en France à un tabou national.

De toute manière, les jeux sont faits (rien ne va plus). Là dessus je rejoins M. Copé et l’ensemble de la classe politique, mais je ne partage pas leur optimisme. Comme un journaliste l’a avancé dans un quotidien étranger (Washington Times je crois), 2007 était sans doute la dernière élection nationale en France où le vote des personnes issues de l’immigration n’était pas décisif. Il ne reste plus qu’à espérer que les nouveaux Français soient aussi pacifistes que nos hommes politiques, aussi pacifiques que le sont les « souchiens ». Quand je regarde leurs pays d’origines, quand je regarde l’islam, un certain islam, un islam certain, parfois j’ai quand même un petit doute, persistant… C’est ce pari sur l’avenir qu’ont fait nos « zélites ». Ce n’est pas le pari d’un bon père de famille.

Nous y sommes. La passe est délicate et la zone à risques.

(1) Déclaration de Dominique Reynié sur le sujet, déclin démographique et immigration.

Tribune libre publiée par Agoravox le 20/12/2008.
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=48955




Tribune (ou extrait vidéo) reprise par le(s) site(s)

Wikio.fr
http://www.wikio.fr/video/699089
Fdsouche.fr
http://www.fdesouche.com/articles/16615
Cozop.fr
http://cozop.com/noop_agoravox/la_discrimination_positive_pour_mes_petits_enfants_je_avais_pas_pense Newstin.fr
http://www.newstin.fr/tag/fr/94424164
Jeuxvideo.com
http://www.jeuxvideo.com/forums/1-69-1461174-1-0-1-0-la-diversite-c-est-aussi-les-blancs.htm
Novopress
http://fr.novopress.info/?p=14820
Forum Doctissimo.fr
http://forum.doctissimo.fr/viepratique/Actualites/demographique-musulmane-explosion-sujet_19722_6.htm
le blog de langelot
http://langelot.blog.lemonde.fr/2008/12/20/metier-a-metisser/
Aol.video
http://video.aol.com/video-detail/averroes-la-diversit-cest-aussi-les-bancs/429723406/?icid=VIDLRVENT01
Wasalive.com
http://fr.wasalive.com/
Findinternet.com
http://www.findinternettv.com/Video,item,934522850.aspx

A la recherche « Averroes : "la diversité c'est aussi les blancs" » titre de l’extrait vidéo Google renvoie environ 673 résultats.

mercredi 10 décembre 2008

Métissage : buzz et bug

Le métissage – Buzz et Bug ?

En 2007 sur un plateau télé de la campagne présidentielle, Julien Dray du PS déclarait avec vigueur et autorité : « il faut faire cette éducation du pays pour qu’il apprenne que désormais son avenir c’est le métissage… »

Le monde politico-intellectualo-médiatique français n’a donc pas attendu la victoire de Barack Obama pour faire la promotion du métissage. « La promotion » le terme est même parfois faible.
Quelle activité autour de ce mot. Il devient pratiquement un slogan, un label. En une élection les USA, en passant du débilissime ringardissime Bush au magnifissime métissime Obama, en une élection les USA retrouvaient la lumière et nous ringardisaient. Nous les Français avec notre petit Nicolas au « sang mêlé ».
Qui est in ? Le métisse (et la couleur aussi un peu quand même).
Qui est out ? Le blanc qui rejoint « La Blonde ».
Les titres et couvertures de magazines, les publicités, les articles de journaux, les commentaires politiques, jusqu’aux productions artistiques, tout les moyens sont utilisés pour valoriser le métissage. C’est devenu un argument commercial, reconnaît Vincent Cespedes lors d’une émission-débat « Demain tous métis ? » sur Arte. Même une candidate Miss France 2009 a cru voir là un argument de vente déclarant je cite « le métissage c’est la France nouvelle ».
Le métissage, forcément « moderne », face à la France trop blanche, forcément « moisie » d’Aurore Filipetti, serait le remède miracle à cette curieuse faculté des sociétés humaines à exclure (dans le meilleur des cas) pour mieux exister.

Si l’on y réfléchit un peu, cette promotion du métissage est un discours eugénique défendu par les mêmes qui tentent de faire de l’emploi du mot race un délit. Mais c’est pour la bonne cause, pour un « monde meilleur ».
Moi ça me met les neurones en émoi. Pas vous ?
Le sujet mériterait un essai complet et d’un meilleur serviteur. Je vais me contenter d’un modeste article en essayant de ne pas être trop réducteur et de rester pertinent.
Ce « buzz » sur le métissage va de paire avec les effets de la mondialisation, de notre déficit démographique suicidaire et des mouvements migratoires de masses qui s’y rattachent, je pense que cela est clair pour tout le monde.
Alors qu’au XXe siècle les nationalismes ont coupé court à la montée en puissance de l’internationalisme, cette fois-ci c’est promis on y arrivera. D’ailleurs Kapital et révolutionnaires rament dans le même sens, vers la mondialisation, c’est dire si l’on est confiant.
Pourtant nous sommes à un moment de l’histoire où des tensions apparaissent, où des tentations communautaristes surgissent, où des pouvoirs religieux montrent les dents. Certains ont osé évoquer des chocs de cultures, voire de civilisations. Rabats-joie. Stupide.
Alors les acteurs d’opinions sont appelés à trouver des voies et des voix qui nous permettrons d’échapper à la répétition d’une histoire violente pour «mieux vivre ensemble ».
Tout ça n’est pas nouveau. A chaque époque de « rencontres » il y a eu des réactions violentes et des recherches de moyens et discours plus ou moins contraignants pour maîtriser les tensions.

La république s’est construite sur ces contraintes.
Au début il y avait l’assimilation à l’intérieur et la mission à l’extérieur.
Décolonisation aidant la mission sera abandonnée et l’assimilation conservée.
Puis avec 68 et le relativisme nous sommes passés de l’assimilation, à l’intégration.
Puis avec l’anti-racisme on opta pour la diversité et le multiculturalisme.
Mais pour satisfaire notre éternelle quête d’universalisme et faire face au déclin de « l’occidentalité », alors que le discours sur la diversité n’a pas eu le temps de s’imposer, voilà l’ultime mise à jour, le Métissage… « Métissée» accolé à quelques mots, comme république, histoire, mémoire, culture, cuisine, musique, sans oublier France, « France métissée », ça peut même donner l’illusion d’un programme…marque déposée au PS et à gauche. Bon là au PS ils ont testé en interne la diversité, mais ils se sont aperçus qu’il pouvait y avoir des petites complications. Diversité, différences, divergences, oppositions, blocages, radicalisation, à hue et à dia ça tire. Maintenant ils vont métisser Hamon, Aubry et Royal…
Diantre que cela a été rapide ! Tellement rapide que les mêmes faiseurs d’opinions passent de l’un à l’autre (en chahutant parfois l’ordre chronologique ou en les mélangeant dans le même discours de célébration).
Diversité. Métissage. On pourrait penser à la technique du double effet. Un concept qui a fait ses preuves pour les rasoirs, les bonbons et tant d’autres produits.

Mais là, il y a un « bug ».
Le métissage, si les mots on un sens, c’est la fin de la diversité. C’est vive l’uniformisation ! Tous pareils, on ne se « foutra plus sur la gueule », croit pouvoir annoncer Pierre Perret dans sa chanson « Mélangez vous ». C’est vite pensé. Qu’est-ce que l’on peut dire comme âneries quand on est tenu de faire court et rapide. Comme Frédéric Taddeï, qui un soir s’enfonça face au même Pierre (décontenancé) en lui demandant pourquoi il n’avait pas été plus explicite dans son texte en appelant les femmes à ouvrir non seulement leurs bras aux étrangers mais aussi leurs cuisses… Taddéï insiste, le Pierre résiste en douceur, un peu gêné (faut le faire)… éclair dans l’œil de l’intellectuel-présentateur, la bouée elle est là ! « Vous ne pouvez pas sincèrement être pour le métissage et défendre la diversité culinaire… » (Je résume) et hop, on passe à autre chose.
Métissage. Diversité. Il y a un « bug » c’est sur. Comme une incompatibilité. Mais comme se sont les mêmes qui nous parlent (depuis 68), ils ne sont pas pressés de lever le doigt pour se signifier à eux-mêmes qu’il y a un problème et ainsi se décrédibiliser. (Ils ne le sont déjà plus vraiment, crédibles, ils le savent. Mais ne leur dites pas, ça les met de mauvaise humeur. Une humeur de Todd ou de Lévy mal interviewé.)

Je ne vous ferais pas ici le détail de mon cheminement, ni ne vous dirais pourquoi, mais moi j’ai choisi. Je prends la diversité. Elle est synonyme de liberté, si l’on y lie le respect. (Pas la crainte, mais le respect). Elle est la Civilisation même, comme le pense Lévi Strauss.
Le métissage, lui, ne vise rien d’autre que l’élimination définitive des races, pardon des phénotypes... Pas que des races, zut, des phénotypes d’ailleurs. La culture au sens le plus large est elle aussi appelée non seulement à « s’enrichir de l’autre » et plus si affinité… (Et même si pas affinité), pour s’effacer, muter sans résister dans le grand mélange mondialisé. Car là aussi d’un attachement trop fort à son identité, à sa culture, pourraient naître des tensions et des conflits.

Si l’on suit les « penseurs » du métissage, il faut enlever du dictionnaire, comme de la vue, les races (devenues phénotypes) pour éliminer les violences qu’elles engendrent. Le métissage serait La réponse. C’est rapide, comme un coït… (Coïterons nous encore dans quelques temps ?… on arrête pas le progrès). C’est vrai que ça évitera que d’autres veuillent les éliminer toutes sauf la leur, ou les asservir toutes… même la leur.
Mais si la justification de cet eugénisme est d’échapper à l’histoire violente, il va falloir aussi métisser les religions, les états nations, les systèmes politiques, pour devenir vraiment tous citoyens du monde, de Plougasnou à Simbawa, de Honningsvag à Puerto Toro … Sinon, nous aurons métissé partiellement, donc imparfaitement, laissant l’homme « nouveau » en butte à des sujets de « discordes » si pratiques pour les rassembler et pour mieux les faire s’affronter. Le laissant aussi bien démuni face à ceux qui n’auront pas suivi notre lumineuse évolution.
Plus ardu. Beaucoup plus ardu. Et long. Très long. En plus c’est sans garantie de résultat.

Donc il va falloir éliminer les différentes religions. Pour n’en garder qu’une seule ? Impossible. Je suggère donc d’opter pour l’interdiction… Traitement radical, sans rechute. Quoique.
Eliminer les frontières aussi. Les frontières sont sources de violences, mais ne se métissent pas.
Eliminer les différents systèmes politiques… un seul fera l’affaire. Sinon, conflit encore.
Il nous faut éliminer les solidarités autres que sociales (les seules qui vaillent en vue du plus parfait égalitarisme), isoler chaque plus petite entité, l’individu, tout en le rendant semblable de son voisin.

La porte ouverte à la dictature, à un totalitarisme mondialisé. Bien plus qu’une porte ouverte, sa justification. Pour un monde meilleur, Le Meilleur. Pouvoir, droit et légitimité mondialisés, unis pour 1000 ans…
Et puis oui tenez, si l’on élimine les races, les nations, les religions, parce qu’elles sont causes de violences, il faut éliminer toutes les causes de violences, la source même…. La première d’entre elle ? L’homme lui-même ? Pourquoi tant de haine ?
Dormez bien. Réfléchissez. Et comme dit André Bercoff « Réveillez-vous ».

Tribune libre publiée par Agoravox le 15/12/2008.

Tribune reprise sur
le site Cozop.com
le site Religion.123news.org
le site Wikio.fr
le site Collectif-passerelle
le site Dico du Net

Bonjour

Vous êtes sur le blog de "noop".

Un blog de plus ? Oui.
Rares sont ceux qui n'ont rien a dire.
Comme tant d'autres, je témoignerai à ma manière de ce que je vois et crois comprendre, de la fin d'une ère...

J'aimerai que cet espace soit de liberté et de respect.
Ici le "politiquement correct" n'est ni requis ni souhaité, mais l'insulte et la grossierté sont indésirables...
Merci de votre attention et de votre participation.